Les avancées technologiques et les troubles géopolitiques ont accentué la nécessité d’une force de cybersécurité solide. En réponse, le Commandement de la cyberdéfense (Comcyber) intensifie ses efforts pour attirer un large éventail de talents avec près de 1 000 recrutements prévus d’ici 2030. Voici les opportunités et les divers rôles disponibles dans ce secteur en pleine expansion.
Diversité des missions et des profils recherchés
Le Comcyber offre une variété de postes et de missions qui reflète la complexité et l’ampleur des enjeux en matière d’ https://www.freelance-informatique.fr/job-consultant-cybersecurite-40 . Des spécialistes en protection et lutte informatique défense sont nécessaires pour sécuriser les systèmes d’information et les services stratégiques, aussi bien sur le territoire national qu’à l’étranger.
De plus, ces experts en lutte informatique offensive sont chargés d’obtenir des renseignements et de perturber les systèmes adverses, tandis que la lutte informatique informationnelle vise à contrer les menaces sur les réseaux sociaux et au-delà. Cette diversité de missions exige une multitude de compétences, allant des connaissances techniques aux capacités psychologiques et linguistiques.
Des parcours très divers sont acceptés, avec différents niveaux de diplômes, du Bac+2 (BTS) à l’école d’ingénieurs (Bac+5) en passant par le Bac+3 (Bachelor, BUT…).
Des opportunités d’affectation et d’évolution de carrière
Une autre dimension attrayante du recrutement dans la cybersécurité réside dans la flexibilité des affectations et les possibilités d’évolution de carrière offertes aux candidats. Les postes sont disponibles sous différents statuts dans plusieurs régions de la France (officier sous contrat ou commissionné, civil en CDD/CDI, fonctionnaire). Les jeunes talents ont ainsi l’opportunité d’exercer leurs fonctions à Rennes, Paris, Strasbourg, Lyon, Lorient, Toulon, Mont-de-Marsan ou Orléans.
De plus, le Comcyber reconnaît l’importance de la mobilité professionnelle et encourage un renouvellement régulier de son effectif. Les militaires, en moyenne, restent cinq à six ans avant de poursuivre leur carrière dans le secteur civil, où leur expérience est valorisée.
Cette transition contribue non seulement à enrichir le tissu économique français et européen, mais renforce également les actions de défense contre les menaces cybernétiques en maintenant des liens étroits entre les secteurs public et privé. En outre, les jeunes recrues bénéficient d’un accès privilégié à des technologies de pointe et à des possibilités de formation continue, tout en participant à une mission d’intérêt national et international.