Tout système informatique possède impérativement un ordinateur central, ou un serveur, qui est le noyau du réseau. Tout est centralisé au niveau de ce noyau. Le mainframe représente l'un des plus anciens ordinateurs centraux puisque le premier modèle a été officiellement conçu dans les années 50.
Bien que divers ordinateurs centraux ou serveurs aient été inventés depuis, il reste parmi les plus plébiscités et semble briguer le top des premières places. Cette préférence des utilisateurs, notamment des grosses boîtes, s'explique par sa vitesse, sa puissance, son haut niveau de sécurité et ses performances dans la gestion d'innombrables terminaux.
Effectivement, des millions de requêtes peuvent être lancées au même moment, seule une machine très puissante est en mesure de les gérer rapidement. Ainsi, les personnes exploitant le réseau peuvent accéder aux données, de manière instantanée. La qualité de ce type d'ordinateur central est vraiment incontestable, comme l'Institut National des Normes et de la Technologie l'a affirmé.
Maillon incontournable des systèmes d'information, ce noyau central suit sans nul doute le développement de l'entreprise qui l'utilise.
Cet ordinateur central fonctionne en permanence, mais pas seulement car il permet d'utiliser à nouveau, les anciennes données. Effectivement, cette machine dispose de la fonction rétrocompatibilité qui rend compatibles les logiciels anciens.
Dans la pratique, l'ensemble des données classées importantes pour l'entreprise est sur cet ordinateur central, qu'il analyse et traite.
Normalement, les développeurs et les autres informaticiens souhaitant travailler dessus doivent connaître, voire maîtriser, le Cobol (COmmon Business Oriented Language) qui est le langage de programmation utilisé.
Mais aujourd'hui, d'autres alternatives sont en vue puisque ces ordinateurs centraux perdurent et sont toujours appréciés des entreprises, notamment de celles qui évoluent dans le secteur bancaire, des grandes administrations et des assurances.
Souvent confondu avec le microprocesseur, le circuit intégré (CI), la puce électronique (microchip) et le système sur une puce (SoC), le microcontrôleur est, en réalité, un circuit intégré composé des éléments essentiels d'un ordinateur.
Malgré sa petitesse, cette pièce embarque un processeur, des interfaces d'entrées-sorties, des unités périphériques et des mémoires (vives et mortes). En somme, tout est intégré sur une puce.
Un microcontrôleur s'apparente à un mini-ordinateur utilisé pour équiper des produits électroniques, comme par exemple, un téléphone mobile, un jouet, de l'électroménager et une télécommande. Il est installé dans un système embarqué afin d'assurer un rôle spécifique, bien déterminé.
Effectivement, les utilisateurs le programment pour qu'il exécute les tâches voulues, en fonction des besoins finaux. En somme, les non techniciens peuvent considérer le microcontrôleur comme le cerveau des produits dans lesquels il se trouve.
Aussi, une vitesse de fonctionnement plus réduite, une consommation d'énergie plus faible et un haut degré d'intégration sont les traits principaux du microcontrôleur.
Un PC ne peut fonctionner que si seulement les composants essentiels pour le faire marcher sont bien présents et en bon état. Ces matériels internes qui constituent l'ordinateur sont le processeur, l'alimentation, le graveur/lecteur, la carte-mère, le disque dur, la carte graphique et la mémoire vive (RAM).
Le processeur peut être défini, de manière très simplifiée, comme le cerveau de l'ordinateur. Sa puissance dépend surtout des entités de calcul qui le composent, appelées aussi cœurs.
Les processeurs qui équipent les ordinateurs peuvent être à six, quatre ou deux cœurs. Sa fréquence, en gigahertz, détermine l'efficacité de ce processeur.
Un ordinateur de bureau a besoin d'être alimenté sur une source électrique pour pouvoir marcher. Le boîtier d'alimentation est l'élément qui assure l'arrivée du courant.
Des ventilateurs sont insérés dedans pour éviter la surchauffe de la machine lorsqu'elle tourne à plein régime.
De nos jours, la plupart des ordinateurs sont équipés d'un lecteur/graveur branché à la carte-mère et fixé au boîtier. Il peut lire les fichiers Blu-Ray, DVD, CD ou autres.
La carte-mère se trouve au cœur de tous les éléments qui constituent l'ordinateur. En quelque sorte, elle peut être considérée comme le « pilier » de l'ensemble.
L'évolution de l'ordinateur dépend surtout de cet élément puisque la possibilité d'intégration de carte graphique, de changement de processeur, d'ajout de barrettes de mémoire, est en fonction des slots (emplacements) disponibles.
Espace de stockage sur lequel l'utilisateur peut enregistrer ces données, ces programmes et ces documents, le disque dur se décline dans toutes les tailles.
En cas d'insuffisance de l'espace disponible, il est possible de coupler le disque dur principal avec un secondaire. L'utilisation d'un disque dur externe représente une autre alternative.
La qualité du graphisme (vidéos, photos, jeux ou autres) affiché sur l'écran relève surtout de la performance de la carte graphique.
Au même titre que le disque dur, la mémoire vive est également un espace de stockage, seulement, il est dédié à l'ordinateur. En gros, elle permet à l'ordinateur d'être plus réactif, tout comme elle enregistre les données temporaires.