Bâle II est le deuxième des Accords de Bâle (maintenant étendu et partiellement remplacé par Bâle III), qui sont des recommandations sur les lois et règlements bancaires émises par le Comité de Bâle sur le contrôle bancaire.
L'Accord de Bâle II a été publié initialement en juin 2004 et visait à modifier les normes bancaires internationales qui contrôlent la quantité de capital que les banques sont tenues de détenir pour se prémunir contre les risques financiers et opérationnels auxquels elles sont exposées.
Cette réglementation visait à faire en sorte que plus le risque auquel une banque est exposée est important, plus le montant de capital qu'elle doit détenir pour préserver sa solvabilité et sa stabilité économique globale soit élevé.
Bâle II a tenté d'y parvenir en établissant des exigences en matière de gestion du risque et du capital afin de s'assurer qu'une banque dispose de fonds propres suffisants pour le risque auquel elle s'expose par le biais de ses activités de prêt, de placement et de négociation.
L'un des objectifs était de maintenir une cohérence suffisante des réglementations afin de limiter les inégalités concurrentielles entre les banques actives au niveau international.
La directive Solvency II (2009/138/CE) est une directive du droit de l'Union européenne qui codifie et harmonise la réglementation européenne en matière d'assurance.
Il s'agit principalement du montant du capital que les compagnies d'assurance de l'UE doivent détenir pour réduire le risque d'insolvabilité.
Les normes internationales d'information financière, communément appelées IFRS, sont des normes comptables publiées par l'IFRS Foundation et l'International Accounting Standards Board (IASB).
Elles constituent une manière standardisée de décrire la performance financière de l'entreprise, de sorte que les états financiers de l'entreprise soient compréhensibles et comparables d'un pays à l'autre.
Par ailleurs, les normes IFRS sont particulièrement pertinentes pour les entreprises dont les actions ou les titres sont cotés à une bourse de valeurs publique.
La gestion de la trésorerie (cash management) fait référence à un vaste domaine des finances qui comprend la collecte, la manipulation et l'utilisation de l'argent liquide. Il s'agit d'évaluer la liquidité du marché, les flux de trésorerie et les investissements.
Dans le secteur bancaire, la gestion de trésorerie est un terme de marketing pour certains services liés aux flux de trésorerie offerts principalement aux grandes entreprises clientes.
Le terme cash management peut être utilisé pour décrire tous les comptes bancaires (tels que les comptes chèques) fournis aux entreprises d'une certaine taille, mais il est plus souvent utilisé pour décrire des services spécifiques tels que la concentration des espèces, la comptabilité à solde zéro et les services de chambre de compensation.
La gestion d'actifs (asset management) est la direction de tout ou partie du portefeuille d'un client par une institution de services financiers, généralement une banque d'investissement ou un particulier.
Ainsi, la gestion d'actifs désigne la gestion de placements pour le compte de tiers. Le processus a essentiellement un double mandat : l'appréciation de l'actif d'un client au fil du temps tout en atténuant les risques.
Il y a des minimums de placement à effectuer pour rentrer dans le cadre de la gestion d’actifs, ce qui signifie que ce service est généralement offert aux particuliers fortunés, aux entités gouvernementales, aux sociétés et aux intermédiaires financiers.
Fidessa Minerva Order Management offre un flux de travail complet de bout en bout couvrant toutes les classes d'actifs avec conformité et connectivité intégrées à une communauté mondiale de courtiers et de vendeurs.
Cette solution permet aux gestionnaires d’actifs de travailler sur un hub centralisé, ce qui leur offre une richesse fonctionnelle et une flexibilité appréciables.
En effet, grâce à Fidessa Minerva Order Management ils pourront avoir accès sur une seule plateforme des fonctionnalités sophistiquées et spécifiques à chaque catégorie d'actifs.
Finance KIT est une solution de gestion de trésorerie, de gestion des risques et de gestion des actifs s’adressant particulièrement au domaine bancaire.
Par ailleurs, la dernière version de Finance KIT apporte des améliorations à son moteur de workflow. Elle introduit également la gestion des titres adossés à des actifs ou des hypothèques.
Cette version fournit aussi des liens vers des bibliothèques externes pour l'évaluation d'une plus large gamme d'instruments et, grâce à des calculs spécifiques effectués sur le serveur, améliore les performances.
Finance KIT permet ainsi de pour fournir aux banques le contrôle et l'automatisation nécessaires à la rationalisation efficace de leurs opérations.
Kyriba est un éditeur de logiciels financiers qui propose différents produits, parmi lesquels :
Kyriba fournit aux directeurs financiers et aux trésoriers la visibilité et les rapports dont ils ont besoin pour optimiser les liquidités, contrôler les comptes bancaires, assurer la conformité et mieux gérer les transactions bancaires et financières internes.
Le système de gestion des paiements de Kyriba garantit la sécurité et l'efficacité du traitement des paiements à l'échelle mondiale pour répondre à vos principaux problèmes de fraude en matière de paiements.
Les workflows automatisés facilitent le lancement, l'approbation et le déblocage des paiements à travers le monde grâce à la prise en charge des virements, des cartes virtuelles, des paiements transfrontaliers, etc.
Kyriba fournit les solutions de gestion du risque de change les plus avancées du secteur, avec des capacités étendues de Business Intelligence pour faciliter l'identification et la compréhension du risque de change.
Par ailleurs, Kyriba utilise des outils d'extraction pour collecter des données complètes et précises à partir de systèmes ERP et de tableurs afin d'obtenir une visibilité approfondie sur les expositions, une analyse fiable et une réduction des risques.
Le domaine financier est régi par un ensemble de concepts et de normes financières qu’il est essentiel de comprendre pour évoluer dans ce domaine.
Pour bien appréhender tous les enjeux informatiques pour le domaine de la finance, il est important de bien comprendre l’ensemble des domaines qui compose l’environnement financier.
Les normes financières sont mises en place dans le but de standardiser le système comptable international et de rendre plus faciles les échanges entre les différents pays.
Il existe aujourd’hui un large choix de progiciels financiers permettant une meilleure organisation et une automatisation de certaines tâches.
Les logiciels et outils de gestion financière permettent aux entreprises de faciliter le traçage et l’enregistrement, mais aussi l’analyse des flux financiers de l’organisation.
Dans le monde de la finance, la gestion des risques correspond à la pratique consistant à identifier à l'avance les risques potentiels, à les analyser et à prendre des mesures de précaution pour réduire ce risque.
La gestion de la finance et de la comptabilité des entités multinationales force les entreprises à se tourner vers le processus de consolidation financière.
Avec l’explosion des données à traiter dans les salles de marché, les manipulations à faire se sont multipliées. De nombreux outils de trading ont donc émergés pour automatiser certaines actions.
On peut lister une multitude de progiciels financiers destinés à répondre à certaines problématiques spécifiques au domaine de la finance.
Il existe aujourd’hui un large choix de progiciels bancaires permettant une meilleure organisation et une automatisation de certaines tâches.
Opter pour un outil de gestion de la trésorerie permet d’avoir un contrôle constant sur les flux financiers d’une entreprise.
Les institutions bancaires ont besoin d’un certain nombre de progiciels pour permettre de gérer le patrimoine et les investissements de leurs clients.
On peut lister une multitude de progiciels bancaires destinés à répondre à certaines problématiques spécifiques aux institutions bancaires.