Le langage XML, ou eXtensive Markup Language, est un langage informatique permettant de décrire des données en utilisant des balises. Ce langage informatique se base sur l'utilisation de balise générique.
À l'opposé des langages tels que le HTML, le programmeur n'a pas l'obligation d'utiliser un ensemble de balises déjà existantes. Il a ainsi la possibilité de mettre en place ses propres balises. Ces balises ont pour rôle majeur, l'organisation et la description d'une structure de manière hiérarchisée.
L'eXtensive Markup Language est né en 1998 dans le but de faciliter les échanges de données entre les machines et les logiciels. Il permet de standardiser les formats et l'organisation des données se trouvant dans un document.
Les échanges de données sur la toile deviennent plus simples. De plus, les données sont décrites de telle sorte qu'elles soient facilement compréhensibles, aussi bien par les humains que par les machines.
Ce langage de programmation informatique permet de créer des logiciels, des applications, voire même des sites web. Il a été inventé par un informaticien néerlandais, Guido Van Rossum, en 1991, qui le baptise ainsi en hommage à la troupe de comique britannique « Monty Python ».
Le développement du langage s'est fait sur plusieurs plateformes, depuis les Macintosh du Centrum Voor Winskunde en Informatica aux Pays-Bas, jusqu'aux machines de la P. Software Foundation en 2001.
Il appartient à une famille de langage informatique dit interprétée, c'est-à-dire que les machines traduisent les instructions, au fur et à mesure de leurs lectures. Il a ainsi, bien évidemment, l'avantage d'être simple, et surtout facile à transporter sur un autre système.
Cette possibilité est d'autant plus avantageuse puisque ce langage est à la fois puissant et riche en fonctionnalité. Il aide à créer des interfaces graphiques, de faire circuler des informations dans un réseau et de mettre en place des programmes complexes.
Ruby est un langage de programmation orientée objet, c'est-à-dire que tous les éléments le constituant sont des objets, qu'il s'agit de chaîne de caractères ou de nombres. Il a été créé en 1995 par un informaticien japonais, Yukuhiro Matsumoto, plus connu sous le pseudo de « Matz ».
Disponible en open source, il a été standardisé en 2012 par l'Organisation internationale de normalisation. Il ne cesse de gagner en popularité auprès des programmeurs. La raison est que ce langage assez facile d'accès met l'accent sur la productivité.
Les syntaxes sont simplifiées afin de permettre aux programmeurs de s'y retrouver facilement. De plus, il n'est pas indispensable d'optimiser la gestion de la mémoire puisque ce langage de programmation possède un ramasseur de miette qui se charge d'organiser la mémoire.
Actionscript est un langage de programmation utilisé dans des applications clientes telles qu'Adobe Flash ou Adobe Flex. Langage de haut niveau, qui, à l'instar de Javascript, se base sur ECMAScript. Il n'est donc pas étonnant de constater que la logique de création d'interface sous ce langage de programmation soit très similaire à celui utilisé en Javascript.
Ce langage sert principalement à faire fonctionner les animations Flash puisqu'il favorise l'interaction. Ses structures se fondent sur le concept d'objet. Ainsi, l'ensemble des éléments d'une animation est considéré comme des objets, ayant des attributs et des méthodes rattachées qui décrivent leur comportement.
Au fil du temps, les langages précédemment cités ont bénéficié du développement des nouvelles technologies qui ont permis d'améliorer leurs fonctionnalités.
Le XSL permet ainsi de décrire les transformations des informations se trouvant sur un fichier eXtensive Markup Language. Cette technologie s'accompagne du XSLT et du XPath pour aboutir.
Le standard WSDL permet, quant à lui, de décrire les services web, tandis que le XAML aide à mieux exposer les données structurées sur les systèmes d'exploitation Microsoft. Ces fichiers sont ensuite sauvegarde sous l'extension XSD.
Tout comme l'eXtensive Markup Language, le SGML est un langage balisé qui permet de décrire les informations contenues dans un fichier. Le standard eXtensive Markup Language est également utilisé dans de nombreux autres langages tels que le SAML, ou encore Microsoft Infopath.