Développeur FULLSTACK freelance : Nouveaux consultants identifiés et nouvelles missions publiées

Être développeur fullstack c’est pratiquement être l’homme à tout faire en informatique. Full stack est un terme anglais qui signifie « paquet entier ». Le développeur fullstack doit être en mesure de gérer l’ensemble des requêtes informatiques des clients lors de la construction d’un site web. C’est un poste qui est bien implanté aux États-Unis, mais de plus en plus d’entreprises le recherchent en France, particulièrement les start-ups qui ne peuvent s’offrir les services de plusieurs spécialistes en programmation.

Le développeur fullstack : véritable architecte sur le web

L’architecte des sites est le développeur fullstack. Il est obligé d’exceller dans toutes les disciplines. Que ce soit sur les smartphones avec les applications, que la construction de site web, on doit ressentir qu’il se sent à l’aise, est en mesure de créer un programme et être responsable de la maintenance.

Par ailleurs, le développeur fullstack va à l’avenir travailler en freelance, ce qui signifie de manière autonome, ou il peut accepter un poste de salarié dans une entreprise. À partir de son matériel de travail qu’est l’ordinateur, il observe et conçoit toutes les pages d’un site. Pour y parvenir, il travaille sur le back-end, cette page dédiée uniquement aux administrateurs d’un site web où ils ont le loisir de procéder aux différents réglages comme les fonctionnalités et la mise en page.

Le rôle du développeur fullstack

Devenir développeur fullstack, c’est être d’abord un amoureux de l’informatique. Toujours au contact des nouvelles sorties dans le monde informatique, il doit faire parler ses qualités de réaction. Elles sont très utiles pour faire face aux plaintes des clients.

Aussi, le développeur fullstack doit avant tout être une personne sociable. Surtout qu’il est appelé à travailler avec différents profils qui interviennent dans la conception du site notamment les graphistes.

D’autre part, le développeur fullstack a plusieurs missions à mener. Il faut qu’il soit quelqu’un de bien organisé et capable de s’adapter au besoin. Autre exigence fondamentale : la maîtrise de l’anglais. En tant que professionnel, il ne doit pas seulement maîtriser le langage informatique, mais il faut qu’il ait un niveau excellent en anglais, car cette langue est la plus utilisée dans le codage.

Quelle formation pour devenir développeur fullstack ?

Pour devenir développeur fullstack, il faut dans la plupart des cas être passé par une école d’ingénierie, d’informatique ou avoir un master. Et là, plusieurs formations sont à envisager.

Comme avec le développeur classique, il peut choisir un DUT informatique ou son équivalent le BTS. S’il veut aller plus loin, il peut opter pour une licence professionnelle spécialisée pour les métiers de l’informatique.

Il y a d’autres procédures : passer par les masters plus spécifiques (conception de systèmes d’information, développer des applications sur plateformes mobiles, ingénierie des programmes…).

Les missions d’un développeur fullstack

Le développeur fullstack a des missions très diversifiées, mais le volume dépend énormément des besoins de l’entreprise avec laquelle il est lié. Certes, le développeur peut travailler le back-office d’un site, mais il a les compétences pour le faire aussi sur le front end. En outre, il a la charge de l’élaboration de l’architecture du site, en partant de l’intégration HTML à l’expérience utilisateur.

Les start-ups sont les plus intéressées par les compétences du développeur fullstack. À l’ouverture de leurs entreprises, elles n’ont pas le budget nécessaire pour embaucher différents développeurs. Travailler avec un développeur full-stack est une astuce non seulement pratique, mais aussi économique pour les petites entreprises, en particulier les start-ups. La charge de travail varie d’un poste à l’autre, mais grâce à sa polyvalence il s’en sort très bien.

Le développeur fullstack et ses compétences

Le développeur fullstack doit connaître les principales technologies de même que les langages de programmation les plus utilisés s’il veut être capable de travailler à la fois sur le back end et le front end, les applications ou les sites internet.

C’est un professionnel qui doit avoir des compétences générales. En plus, il faut qu’il sache s’adapter, car dans une journée, il peut arriver qu’il travaille sur des missions vraiment différentes avec des modes de fonctionnement contraires.

Aussi, le développeur fullstack doit pouvoir concevoir un site, un logiciel ou une appli entièrement, assurer la refonte ou la maintenance. Il travaille sur toute la pile technologique, face visible et invisible à l’utilisateur. On peut sans soucis lui laisser l’architecture du site, la gestion des bases de données, l’intégration des scripts et les services cloud. Entre autres missions courantes, on note l’implémentation des composants complexes, les services évolués sur les sites existants.

Voici les langages de programmation que le développeur fullstack doit absolument maîtriser : Bootstrap, Amazon EC2, JQuery, MongoDB, Scala, Android, iOS, HMTL5/CSS3. C’est quelqu’un qui doit avoir un excellent sang-froid pour arriver à gérer les différentes missions de ses clients dans le délai imparti.

Quelle rémunération pour un développeur fullstack ?

Comme pour tout travail dans le digital, les tarifs dépendent du client et du travail à faire. Un débutant peut espérer un salaire annuel de 36 k€. Avec 4 ou 6 années d’expérience supplémentaires, il peut envisager 50 k€.