Face à la multiplication des cyberattaques, Cybermalveillance.gouv.fr, le guichet unique d’assistance et de prévention de la cybermalveillance en France, lance une nouvelle version de son programme d’e-sensibilisation SensCyber. Désormais accessible au grand public et aux collaborateurs des TPE-PME, cet outil pédagogique vise à renforcer la culture numérique de l’ensemble de la population.
Dans le cadre de son programme de recherche pour renforcer la lutte contre les cyberattaques dans l’Asie du Pacifique, Google vient d’ouvrir un centre dédié à la cybersécurité à Tokyo. Le Japon accueille ainsi le premier pôle asiatique du géant américain dans ce domaine. Cette initiative vise à promouvoir la recherche sur les mesures à prendre face aux menaces d’infiltration des réseaux d’entreprise et étatiques dans cette zone, mais aussi à former des experts en sécurité informatique.
Depuis le début de la guerre en Ukraine, les cyberattaques visant les sites gouvernementaux, ainsi que ceux des collectivités locales et services publics ne cessent de croître. Tout récemment, France Travail a été la cible des pirates informatiques. Ces derniers ont réussi à s’infiltrer dans le système d'information de cet organisme, et voler des données sensibles.
Le De Vinci Innovation Center (DVIC) comptera bientôt 4 groupes d’innovation. En effet, le Pôle Léonard de Vinci a annoncé la création de Cyber Dynamics, un nouveau groupe d’innovation dédié à la cybersécurité. Pour rappel, le DVIC est un pôle d’innovation transdisciplinaire formé jusqu’ici par 3 groupes : Artificial Lives (Interaction homme-machine), Resilient Futures (technologies durables et résilientes), et Human Learnings.
Le nombre des cyberattaques visant les entreprises a nettement progressé depuis 2023. Selon les experts, il s’agit du revers accablant de la digitalisation de tous les secteurs d’activité qui offre en effet davantage de manœuvres aux pirates informatiques, lesquels n’hésitent pas à exploiter toutes les failles de sécurité de leurs cibles. Les entreprises sont ainsi contraintes de renforcer la sécurité de leurs infrastructures informatiques et prévenir tous les risques d’attaques auxquels elles sont exposées.
Le 10 mars 2024, les services de l’État français ont été victimes d’une cyberattaque d’une ampleur sans précédent. Bien que l’origine de cette opération demeure inconnue, elle a entraîné une réponse d’urgence de la part du gouvernement. Cet incident souligne l’impératif absolu de renforcer la cybersécurité pour préserver les institutions nationales et la souveraineté française.
Face à l’augmentation des cyberattaques et à l’approche des élections européennes, l’Union européenne s’apprête à déployer un « bouclier cybersécurité » dans le cadre du Cyber Solidarity Act (CSA). Cette initiative vise à renforcer la capacité des États membres à détecter, prévenir et contrer les menaces et incidents cyber de grande ampleur.
Les techniques de piratage informatique évoluent sans cesse, avec l’apparition de nouvelles menaces telles que le quishing et le phishing sur les réseaux sociaux. Les entreprises, en particulier dans le secteur financier, sont la cible d’attaques croissantes. Le rapport annuel de Vade pour 2023 dresse un tableau préoccupant de ces nouvelles tendances.
L’essor des deux roues connectés s’accompagne d’une réalité à ne pas ignorer : la nécessité de renforcer leur cybersécurité. Consciente des risques croissants, l’ONU s’apprête à étendre le règlement n° 155, initialement dédié aux voitures, aux vélos électriques, scooters et motos. Cette initiative vise à garantir la sécurité des utilisateurs et à harmoniser les normes internationales.
L’intégration de l’intelligence artificielle (IA) dans le domaine de la cybersécurité marque une avancée majeure dans la lutte contre les cybermenaces. Nomios, une entreprise spécialisée en sécurité informatique, a récemment atteint un jalon significatif en déployant une IA générative fin 2023. Cette avancée technologique promet d’accélérer l’analyse des alertes de cybersécurité, fournissant ainsi aux analystes un soutien précieux dans leurs tâches quotidiennes.
Le ransomware est un fléau qui touche aussi bien les particuliers que les grands groupes, avec des conséquences plus ou moins désastreuses, en fonction de l’ampleur de l’attaque. Il s’agit d’une menace redoutable qui bloque l’accès aux données et exige une rançon pour les restituer. Les entreprises victimes de ce genre de méfaits peuvent accuser des pertes financières importantes et une interruption de leur activité.
Dans un paysage numérique en constante mutation, la cybersécurité représente un défi omniprésent. Face à une menace cybernétique toujours plus importante, les individus et les organisations sont confrontés à la nécessité pressante de renforcer leurs stratégies de protection des données et de prévention des attaques informatiques.
La cybersécurité en entreprise devient un enjeu phare. En effet, les attaques sont de plus en plus sophistiquées, ciblant des sociétés de toutes tailles. Ainsi, il est impératif de mettre en place des stratégies efficaces pour protéger les données sensibles et garantir la continuité des activités.
Les avancées technologiques et les troubles géopolitiques ont accentué la nécessité d’une force de cybersécurité solide. En réponse, le Commandement de la cyberdéfense (Comcyber) intensifie ses efforts pour attirer un large éventail de talents avec près de 1 000 recrutements prévus d’ici 2030. Voici les opportunités et les divers rôles disponibles dans ce secteur en pleine expansion.
Face à la recrudescence des cyberattaques, de plus en plus souvent d’origine étrangère, les entreprises et les organismes publics renforcent leur protection. Car l’enjeu est triple : prévenir pour éviter ou minimiser les dommages, les réparer et alerter les éventuelles victimes de vols de données personnelles. À l’approche des JO de Paris 2024, l’Île-de-France est plus exposée que jamais.
Le renforcement de la sécurité informatique est actuellement l’un des défis majeurs auxquels les organisations font face. De nombreuses solutions technologiques sont développées afin de protéger avec plus d’efficacité les systèmes d’information et parmi celles qui ont le vent en poupe figure le SOC-as-a-Service.
La cybersécurité s’affirme comme un pilier incontournable de l’industrie informatique. Avec un salaire moyen dépassant les 5 000 euros, ce secteur attire un nombre croissant de professionnels en quête de carrières stimulantes et rémunératrices. Le point sur la croissance exponentielle de la cybersécurité et comment elle transforme le paysage professionnel de l’IT et ouvre de nouvelles perspectives pour les talents du numérique.
La digitalisation des entreprises et des organisations est un enjeu majeur du XXIe siècle. Elle nécessite de faire évoluer les infrastructures IT pour les faire gagner en agilité, en performance et en sécurité. Dans cette quête, la cybersécurité et le cloud sont appelés à jouer un rôle important.
L’intensification des cybermenaces contre les établissements de santé a généré un renforcement significatif des normes de cybersécurité par les autorités publiques. De la certification Haute Autorité de Santé au plan CaRE (Cybersécurité, Accélération et Résilience des Établissements), jusqu’à la directive européenne NIS 2, la cybersécurité émerge comme un axe central des priorités nationales.
Avec l’avènement de l’intelligence artificielle, les responsables de la sécurité des systèmes d’information (DSI) et les experts en cybersécurité s’interrogent sur les risques que font peser les modèles de langages de grande taille (LLM) sur la sécurité des SI. En effet, ces technologies peuvent être utilisées pour générer des codes malveillants, tels que des virus, des vers ou des chevaux de Troie.
Avec l’avènement de l’intelligence artificielle, les responsables de la sécurité des systèmes d’information (DSI) et les experts en cybersécurité s’interrogent sur les risques que font peser les modèles de langages de grande taille (LLM) sur la sécurité des SI. En effet, ces technologies peuvent être utilisées pour générer des codes malveillants, tels que des virus, des vers ou des chevaux de Troie.
Présenté par le gouvernement français au mois de décembre 2023 et bénéficiant d’un budget de 230 millions d’euros d’ici 2025, le programme CaRE a pour objectif de renforcer la résilience du système de santé français face à des menaces toujours plus nombreuses.
À l’approche des Jeux olympiques de 2024, une atmosphère d’incertitude prévaut quant à la préparation de la France face à une éventuelle vague de cyberattaques. Entre méfiance et optimisme, la question cruciale demeure : le pays est-il prêt à contrer ces menaces numériques ? Les antécédents inquiétants, notamment les 450 millions de tentatives de piratage recensées au Japon en 2021 lors des Jeux olympiques, alimentent légitimement les craintes quant à la sécurité informatique pendant cet événement mondial.
Les menaces cybernétiques sont en constante évolution, et l’année 2024 ne fait pas exception. Les RSSI (Responsables de la sécurité des systèmes d’information) doivent faire face à une nouvelle donne, caractérisée par une intensification des attaques ciblées sur les smartphones Android, une recrudescence des usurpations d’identité et l’essor de l’intelligence artificielle générative, qui permet aux cybercriminels de créer des messages crédibles et difficiles à détecter. Les menaces sont plus diversifiées et plus sophistiquées que jamais. Les RSSI doivent s’adapter à cette réalité en adoptant des mesures de sécurité renforcées.
L’univers de la cybercriminalité s’adapte rapidement aux avancées de l’intelligence artificielle générative (IAG) en exploitant sa capacité créative pour perfectionner des attaques et des escroqueries. Cette tendance inquiétante suscite l’attention d’Interpol, qui a émis une alerte mondiale sur l’utilisation croissante de l’IA et des deepfakes pour rendre les usurpations d’identité plus efficaces.